Les deux font la paire

Pourriez-vous décrire l’autre en 5 mots ?

Romain : Je dirais souriante, ambitieuse, bosseuse, joyeuse et conviviale.

Léa : Pour moi, ambitieux, social, rigoureux, poli et… peureux !

Romain : Peureux ? (rires)

Léa : Eh oui peureux (rires) ! Si j’utilise ce terme, c’est parce que j’ai cherché pendant longtemps à travailler avec Romain en cherchant à le convaincre d’intégrer Krys. Il a franchi le cap récemment, mais il lui a quand même fallu 5 ans de réflexion !

Romain : Oui je le concède. J’ai été salarié pour une enseigne d’audition pendant de longues années. Les habitudes ont la vie dure et il m’a fallu un certain temps pour oser me mettre à mon compte, en rejoignant Krys Audition. Je craignais à l’époque de perdre en liberté. Aujourd’hui, tout ça me parait bien loin…

Comment vous-êtes-vous rencontrés ?

Romain : Nous nous sommes rencontrés il y a 5 ans. Le mari de l’associée de Léa est l’un de mes meilleurs amis depuis l’époque du lycée. C’est comme cela que j’ai commencé à intervenir dans le premier magasin de Léa en tant qu’audioprothésiste pour une autre enseigne. Tout de suite le contact a été bon, ça a tout de suite fonctionné entre nous.

Léa : Lorsque nous avons ouvert notre second magasin à Saint-André-Les-Vergers, nous avons souhaité y intégrer un audioprothésiste. Naturellement, Romain était le candidat idéal. Nous savions qu’il était très professionnel, qu’il était en parfait accord avec nos valeurs et celles de KRYS GROUP et que sa manière de travailler s’accorderait avec la nôtre. Il a juste fallu faire preuve de patience pour qu’il se rende compte que c’était le meilleur choix pour lui et qu’il pourrait garder toute sa liberté ! Et le krush s’est confirmé ! (Rires).

Romain, aviez-vous des a priori sur les enseignes d’optique en général ?

Romain : C’est vrai qu’au début j’étais réticent. Les enseignes d’optique qui développaient l’audition n’avaient pas forcément l’image que je voulais donner. Je craignais d’avoir à faire à des opticiens qui se font passer pour des audioprothésistes. Il faut dire qu’il y a des opticiens discounters qui ne font pas de l’adaptation d’appareils mais juste de la vente d’appareils auditifs. La nuance est de taille.

En rejoignant Krys Audition, toutes vos craintes ont finalement disparu ?

Romain: Oh oui ! Depuis que j’ai rejoint KRYS GROUP, toutes ces craintes se sont dissipées. Les valeurs Krys sont les miennes et vice versa. J’ai trouvé des opticiens qui travaillent de la même manière que moi, c’est-à-dire de manière qualitative. Et puis, je peux dorénavant bénéficier d’une centrale d’achat et de tout ce que l’Enseigne fait, notamment en matière de communication. Et enfin, gros point fort, nous avons pu « fusionner » ma patientèle avec la clientèle de Léa. Pour des résultats immédiats qui dépassent tout ce que j’avais pu imaginer.

Comment se passe la répartition des charges entre vous ?

Léa : Il faut d’abord dire que Romain travaillait depuis 10 ans sur la région de Troyes et qu’il avait une patientèle de fidèles qui l’a suivi depuis qu’il travaille sous les couleurs de Krys Audition. On a donc pu bénéficier de ces nouveaux clients, qui étaient à l’origine des clients de Romain et qui ont découvert nos magasins, nos produits et nos équipes et qui désormais achètent leurs lunettes chez nous.

Ceci étant dit, de notre côté, nous remplissons aussi son carnet de rendez-vous. Dès que j’ai un client qui n’entend pas très bien, je lui parle de Romain et je lui explique que nous avons un audioprothésiste présent sur notre point de vente. Nous créons, pour ces personnes-là, le déclic de venir faire un bilan auditif*.

Romain : Je ne peux pas dire le contraire. Je passe la journée dans ma cabine et je ne peux pas être sur la surface de vente. Léa et son équipe, ce sont un peu mes rabatteurs (rires). Et là encore, nous sommes complémentaires, c’est certain.

Malgré le fait que vous avez des métiers différents, quels sont vos points communs ?

Léa : Le souci d’améliorer la santé, qu’elle soit auditive et visuelle. Bien sûr, nous sommes commerçants mais nous sommes surtout – sans prétention aucune – des professionnels de santé.

Romain : L’empathie déjà. Et puis on aime tous les deux faire du bon boulot, en gardant toujours le sourire !

Pourriez-vous donner 3 mots pour qualifier votre couple ?

Léa : Je dirais fusionnel, professionnel, et je reprends volontiers le terme d’empathique.

Romain : Oui, cette combinaison me va parfaitement. Je crois que l’essentiel pour un audio, c’est de trouver un opticien ‘’compatible’’ avec ses valeurs et sa façon de travailler. Moi j’ai la chance d’avoir trouvé Léa. Et je pense que notre relation sera durable…

Léa : Mais oui mon Romain, notre histoire va durer. Et on va faire plein de petits !

Romain : Des petits audio ou des petits opticiens ?

Léa : Des petits magasins d’audio et d’optique ! (Rires)

* Conformément à l’arrêté du 14 novembre 2018, le bilan auditif n’est pas un examen médical. Les aides auditives sont des dispositifs médicaux qui constituent des produits de santé réglementés portant à ce titre le marquage CE. Consultez un professionnel de santé spécialisé.